LE PAVE MOSAÏQUE
DANS LES RITES EGYPTIENS
Ici tout est symbole… « cherche et tu trouveras… » Cette petite phrase adressée au Récipiendaire au terme du Premier Voyage de son Initiation, résume parfaitement le chemin qu’il aura à parcourir pour comprendre le sens caché de notre démarche spirituelle.
Le sujet dont je souhaiterais vous parler ce soir, concerne le Pavé Mosaïque. Pas celui aux proportions incertaines que l'on rencontre généralement dans nombre de temples maçonniques, mais celui qu'idéalement nous devrions trouver au centre de nos Loges.
Peut être m’opposerez vous que sur le sol de nos ateliers on ne trouve aucune mesure précise concernant ce symbole, et que par conséquent toute réflexion sur le sujet ne peut être que de la masturbation intellectuelle. Pourtant, si nous nous inscrivons dans le devoir de transmission, nous nous devons d’assurer le passage à la génération suivante de ce que mes Maîtres nous ont appris.
Choisis par nos illustres prédécesseurs pour symboliser l’espace sacré où s’inscrit le tableau de la Loge, le Pavé Mosaïque a une forme géométrique toute particulière, des proportions standardisées, et des couleurs pour le moins contrastées.
Concernant sa représentation géométrique, il est paradoxal de constater que pour symboliser la Terre, la forme qui fut choisie n’a pas été le cercle mais le carré, et qui plus est, le Carré Long. Il est vrai qu’il y a déjà plus de 7000 ans, les civilisations orientales se la représentaient ainsi, bien qu’à cette époque leurs connaissances Astronomiques aient été vraisemblablement aussi précises que les nôtres aujourd’hui.
Pour les prêtres égyptiens par exemple, cet espace en forme de carré long qui pour nous Francs-maçons symbolise la Terre, représentait la création primitive d'un monde manifesté, sur lequel régnaient les Dieux. Que ce soit dans leurs temples, ou leurs tombeaux, voir même symbolisée dans l'écriture hiéroglyphique, les égyptiens représentaient la Terre par un carré dans un cercle. Nous ne trouvons quasiment jamais de perspective dans les scènes peintes ou gravées sur les murs de leurs édifices civils et religieux, à part certains anciens grimoires de l’époque Ptolémaïque (troisième siècle avant notre ère) qui figurent la Terre sous la forme d’une plate forme soutenue par quatre piliers. Pour les premiers égyptiens comme pour un certain nombre de civilisations antiques, la Terre n'était qu'un niveau intermédiaire entre l'infra monde et celui des dieux.
Le carré dans un cercle, c'était la Terre dans l'Univers. C'était l'infiniment petit symbolisé dans l'infiniment grand. Si les égyptiens des époques historiques n'ont pas inventé la géométrie dans l'espace, ils en avaient pourtant la connaissance intuitive. A moins que celle-ci, comme semblerait indiquer certains manuscrits datant de l'Ancien Empire, leur ait été transmise par les légendaires et introuvables «Livres de Thot ».
Alors, si nous continuons de symboliser la Terre par un carré, voire un carré long, on peut s’interroger sur les raisons qui ont poussé les hommes en général, et les Maçons en particulier, à choisir cette forme apparemment inadaptée pour symboliser notre planète. Peut être conviendrait-il de consulter les Anciens Rituels pour comprendre d’où nous vient ce choix.
Le Rituel du Premier degré de Misraïm, recoupé par un Rituel de la Grande Loge d’Angleterre datant du 18e siècle nous informe que le Pavé Mosaïque devrait comprendre 108 cases ; 12 colonnes de l’Orient à l’Occident, et 9 colonnes du Septentrion au Midi. En géométrie, 12 par 9, réduits en nombres premiers donne 4 par 3 c'est-à-dire les proportions du théorème de Pythagore, qui rappelons le, est de 3, 4, et l’hypoténuse 5.
Pour mémoire, ou pour ceux qui n’auraient pas encore assisté à la consécration d’une Loge maçonnique égyptienne, le tracé de l’espace sacré réservé au Pavé Mosaïque se fait à l’aide d’une corde à 12 nœuds séparés d’une coudée. On forme ainsi un triangle composé de 3, 4, et 5 nœuds. Une fois déterminée l’orientation du Temple, on applique ce triangle sur le sol, puis on en trace les contours à la craie. Après l’avoir déplacé dans l’autre sens, on l’applique à nouveau sur le sol de manière à fermer le rectangle et on en trace également les contours. Ainsi, sans règle ni compas, nous avons formé le carré long et déterminé le centre même de l’espace sacré du Temple, là où s’entrecroisent les deux hypoténuses.
Esotériquement, il y a plusieurs façons d'expliquer le nombre de carreaux composant cet élément symbolique. Dans nos religions Christiques, nous savons par exemple que le " 1 " représente l'unité, le père; que le " 0 " qui autrefois était figuré avec une barre transversale coupant le cercle, représente la fécondité, la femme, et donc la mère; et que le " 8 " est le nombre du Christ, le fils. Le chiffre 108 serait donc le symbole même de la trinité.
Cependant, dans l’esprit scientifique et non christique de la maçonnerie, la Loge se présente comme un univers microcosmique à l’échelle de la Terre, qui elle-même serait microcosme à l’échelle universelle. Au centre de l’espace sacré de notre Temple, l’infiniment petit y est représenté sur un tableau de Loge, comme symbolisant les origines de nos traditions. Ce tableau dont la Loge est la vivante réplique se réfléchi sur les murs, comme éclairé par en dessous pour symboliser son image spatio-temporelle conjuguée au présent. Mais si à l’échelle de la Terre, la Loge est microcosmique, sa propre Lumière peut elle aussi se projeter vers l’Univers environnant. (c’est un peu comme des poupées Russes, indépendantes mais imbriquées l’une dans l’autre).
Il reste maintenant à définir le pourquoi de la forme rectangulaire et celui des 108 cases censées la composer.
Tout d’abord, mettre 108 cases identiques dans un cercle ou dans un carré est impossible mathématiquement. Définir un point dans l’espace par rapport à son environnement n’est pas plus aisé. Car s’il est plus logique de symboliser la terre par un cercle, première figure géométrique réalisée à partir du point, il est très difficile pour un non scientifique de définir l’espace qui l’entoure. Cependant, si on admet que le cercle se compose arbitrairement de 360 degrés, et que le carré quant à lui possède quatre angle à 90 degrés, soit lui aussi 360 degrés, rien ne nous empêche de les comparer l’un à l’autre (C.Q.F.D. comme le diraient les mathématiciens, et en langage clair, « ce qu’il fallait démontrer »).
D’ailleurs, qu'elle soit cercle ou qu'elle prenne une toute autre forme, une figure simple et fermée possèdera toujours 360 degrés. Donc sa valeur numérique reconnaissable par tous, il semblait plus pratique d’utiliser le carré long que le cercle.
Alors, comment déterminer la place d’un objet dans le vide, sinon en quantifiant ce qui l’entoure. Je m’explique : Si nous prenons un carré, fut-il long, et que nous calculions le nombre de degrés qu’il génère autour de lui, nous additionnons les angles extérieurs de cette figure géométrique. Nous trouvons ainsi 12 angles à 90 degrés soit 1080 degrés. C’est pourquoi, pour symboliser la Terre dans l’Univers, nos prédécesseurs ont choisi ce nombre, propre à nous faire entrevoir le sens caché de notre Initiation. Ils ont imaginé un damier comportant 12 cases sur 9 soit 108 cases, en y inscrivant la dualité solaire et en laissant à notre féconde imagination la faculté de chercher quelques autres significations.
Si dans les autres rites un Tableau de Loge est posé au centre même du Pavé Mosaïque, les Maçons d’obédience égyptienne y insèrent un triangle qu’ils nomment « le Naos) sur lequel brille la flamme éternelle.
D’ailleurs, qu'elle soit cercle ou qu'elle prenne une toute autre forme, une figure simple et fermée possèdera toujours 360 degrés. Donc sa valeur numérique reconnaissable par tous, il semblait plus pratique d’utiliser le carré long que le cercle.
Alors, comment déterminer la place d’un objet dans le vide, sinon en quantifiant ce qui l’entoure. Je m’explique : Si nous prenons un carré, fut-il long, et que nous calculions le nombre de degrés qu’il génère autour de lui, nous additionnons les angles extérieurs de cette figure géométrique. Nous trouvons ainsi 12 angles à 90 degrés soit 1080 degrés. C’est pourquoi, pour symboliser la Terre dans l’Univers, nos prédécesseurs ont choisi ce nombre, propre à nous faire entrevoir le sens caché de notre Initiation. Ils ont imaginé un damier comportant 12 cases sur 9 soit 108 cases, en y inscrivant la dualité solaire et en laissant à notre féconde imagination la faculté de chercher quelques autres significations.
Si dans les autres rites un Tableau de Loge est posé au centre même du Pavé Mosaïque, les Maçons d’obédience égyptienne y insèrent un triangle qu’ils nomment « le Naos) sur lequel brille la flamme éternelle.
Si parler du Pavé Mosaïque c’est aussi symboliser la Terre au sein de l’Univers, comment définir numériquement cet Univers dans lequel nous baignons ? Puisque la Terre fait partie intégrante de l’Univers, on peut convenir que l’Univers soit la somme des deux valeurs, soit 1080 degrés entourant notre planète auxquels s’ajoutent les 360 degrés de notre Pavé Mosaïque. Nous trouvons alors 1440 degrés, chiffre retenu pour symboliser notre Univers. Ce calcul peut paraître un peu fou voire du domaine de la superstition. Pourtant, ce nombre 1440 revient trop souvent pour qu’il ne soit question que d’une simple coïncidence. Notre symbolisme, aussi pragmatique qu’il puisse paraître, pourrait bien s’être souché sur la cosmogonie égyptienne, justifiant de notre filiation spirituelle avec elle.
Serait-ce un hasard qui fait que le temps de la création inscrit dans les arcanes de la Genèse, celle de Moïse, augmentée des apports égyptiens, soit également symbolisé par ce nombre ? En effet, nous trouvons que sous les images naïves des enseignements de la Bible et des livres sacrés se cache une clef universelle. Il y est enseigné par exemple que "Dieu créa le monde en six jours ". Six jours, cela fait bien six fois 24 heures soit 144 heures.
Toujours dans la Bible, l’Evangile selon Saint Jean nous enseigne que (Devant le seigneur, un jour est comme mille ans, et mille ans sont comme un jour...). Si pour Dieu un jour est comme 1000 ans, le temps de la création, c'est-à-dire 6 jours, serait de 6000 ans de 24 heures soit 144 000 heures.
Hasard également si au cadran de nos montres, les 24 heures de la journées font au total 1440 minutes et qu’il y a 144 milliards d’années dans le jour universel de tout notre système solaire.
Est-ce un hasard si nos scientifiques reconnaissent aujourd’hui que depuis l’origine de l’humanité, la distance séparant le Soleil de notre planète est de 144 millions de kilomètres, et que la Terre serait 1 million 440 000 fois plus petite que le Soleil ?
( Comme le démontrent les calculs de nos astronomes, à la vitesse de 300 000 kilomètreslseconde, la lumière du Soleil met 8 minutes à nous parvenir. A cette vitesse 8 minutes multipliées par 60 secondes donnent 480 secondes que multiplient 300 000 kilomètres, soit.- 144 millions de kilomètres).
Etait-ce donc au hasard si les égyptiens de l'Ancien Empire, soit environ 2800 ans avant notre ère, avaient choisi de considérer le nombre 144 comme étant à la fois, le Chiffre de la Terre et son nom numérique, l'inscrivant dans une géométrie pyramidale symbolisant, mieux qu'aucune autre forme, le faisceau de lumière éclairant notre planète ?
Hasard également si Pythagore que nous avons déjà cité pour son théorème, avait composé une table à partir du carré de 12 x l2 = 144
Table de Pythagore
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12
2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 22 24
3 6 9 12 15 18 21 24 27 30 33 36
4 8 12 16 20 24 28 32 36 40 44 48
5 10 15 20 25 30 35 40 45 50 55 60
6 12 18 24 30 36 42 48 54 60 66 72
7 14 21 28 35 42 49 56 63 70 77 84
8 16 24 32 40 48 56 64 72 80 88 96
9 18 27 36 45 54 63 72 81 90 99 108
10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 110 120
11 22 33 44 55 66 77 88 99 110 121 132
12 24 36 48 60 72 84 96 108 120 132 144
Cette table, sorte de carré magique, donne horizontalement ou verticalement, la liste de tous les multiples du nombre de tête.
A plusieurs reprises nous retrouvons ce nombre dans l'Ancien et le Nouveau Testament de la Bible.
Dans l'Ancien Testament, Ezéchiel pour pouvoir mesurer le temple, utilisa une canne de 6 coudées. Une coudée étant composée de 24 subdivisions, la canne valait par conséquent: 6 x 24 = 144 subdivisions.
Il y est également précisé que la mesure de la Jérusalem Céleste est de 144 coudées. " [... 1 Il mesura la muraille, et trouva cent quarante quatre coudées, mesure d'homme, qui était celle de l'ange ". (Apocalypse 21.17).
Plus proche de nous, le jour de Noël (symbolique sur le plan historique et populaire) tombe le 360e jour de l'année, soit 6 jours avant le premier janvier, à 144 heures de la fin de l'année, bissextile ou non.
Encore plus proche de nous, la génération des ordinateurs de type PC 386 ou 486 à présent supplantés par celle des PENTIUM, utilisait pour certains d'entre eux des lecteurs de disquettes 1.44 Mo. Certains taux de transferts de données et de transmission par modem étant de 14400 bauds, ces valeurs obsolètes à présent, sont conservées pour les fax « 14400 » intégrés aux ordinateurs. Dans cet exemple on peut constater que le symbolisme n'a pas que des applications spirituelles.
Est-ce encore un hasard, si à quelques milliers de kilomètres de chez nous, au Guatemala, les Mayas considéraient, et considèrent toujours aujourd'hui, que tous les 144 ans s'opèrent de grands changements, le prochain étant pour l'année 2007 (Election de Nicolas Sarkozy).
Coïncidence, serez-vous peut être tenté de dire. Non ! Il ne saurait y avoir de coïncidence touchant un nombre qui se retrouve dans la Genèse, dans la Pyramide, sur le cadran de nos montres et dans un jour de rotation terrestre. Tout le mystère de notre Univers s'ordonne d'après ce nombre, repose sur lui et nous découvrons, grâce à lui, que l'unité de loi engendre l'unité de fait. 144, est donc le nombre clef, le nombre parfait, le nombre de notre univers, le nombre qui est le nom chiffré de notre planète et, en quelque sorte, la clef de la lumière.
Allez, encore un petit dernier pour la route, sur le mode de la parodie,. Du temps au Communisme, le gouvernement Soviétique était bel et bien composé de 1440 membres.
Que nous symbolisions le corps de la Terre, comme une figure totalisant 360 degrés, l'âme de notre planète avec ses 1080 degrés ou l'esprit qui a tout engendré avec ses 1440 degrés, tous ces chiffres additionnés individuellement où globalement aboutissent en numérologie au nombre 9. Ce symbole de la création et de la vie en tant que rythme, imbrication et développement, représente donc les trois manifestations divines dans les trois plans: monde de l'esprit, monde de l'âme, monde de la matière, ce qui donne une triple manifestation de la Trinité - 3 x 3. C'est pourquoi les francs-maçons spiritualistes en ont fait le nombre éternel de l'immortalité humaine, le tré-pas.
Considéré comme sacré en Égypte et en Grèce, le neuf est souvent considéré comme le nombre de l'Initié, et comme le nombre de l'homme, en tant que symbole numéral de sa gestation - neuf mois. Du fait que le neuf a la curieuse propriété de toujours se reproduire lui-même lorsqu'on le multiplie par tout autre nombre, il symbolise la matière ne pouvant être détruite. Il introduit une notion de fin de cycle, de mort apparente, ouvrant la voie vers une transformation, une renaissance, une Initiation en somme.
Bien entendu, ce travail accompli n'est pas exhaustif, loin s'en faut. D'autres exemples en correspondance avec le sujet traité pourraient le compléter. Mon exposé de ce soir n'avait pas pour but de vous enseigner les connaissances que j'ai pu acquérir au cours de mes recherches, mais de vous éveiller à ce langage symbolique qui permet parfois de retrouver l'essence des messages véhiculés par nos prédécesseurs. Car si piètre, est l'élève qui ne dépasse pas son Maître, disait (Gargantua)... Piètre est le Maître qui n'est pas dépassé par ses élèves, disait (Voltaire).
Le réseau Hartmann
Vers la fin de la dernière guerre mondiale, un médecin allemand du nom de Ernst Hartmann de l'Université de Heidelberg, découvre une structure de rayonnement radioactif qui, tel un filet de dimensions fixes et orienté magnétiquement, s'étale sur toute la surface du globe sous forme de rectangles de 2 mètres de largeur sur 2 mètres 50 de longueur orientés Est / Ouest formant en leur centre une surface neutre, sans perturbation et dont les lignes s'élèvent verticalement du sol, tel des murs invisibles d'une épaisseur de 21 cm chacun. Ce quadrillage tellurique dont les dimensions rejoignent les racines mathématiques de la pyramide de Khéops, était connu des civilisations mégalithiques et fut sans aucun doute possible utilisé lors de la construction des édifices à caractère sacré.
Représentation d'un réseau Hartmann
Il couvre toute la surface terrestre. Il forme un immense filet plus ou moins régulier qui monte verticalement. Il n’est pas détectable au bord de la mer (présence du sel).
Le réseau Hartmann comporte des plafonds espacés verticalement de 2,50 m. Il fait penser à un empilage de boîtes en carton. Il se resserre au voisinage des cours d’eau souterrains. Une pierre placée sur un vortex déforme le réseau Hartmann. Son implantation peut se décaler latéralement jusqu’à 0,80 si le compteur électrique placé sur un nœud Hartmann est enclenché ou non. Ses cloisons peuvent se dilater de 21 à 100 cm, 24 heures avant un tremblement de terre.
Ce phénomène résulte probablement de l’effet piézoélectrique dû à la compression des roches. Un réseau H dont le tracé est régulier et dilaté témoigne d’une bonne qualité biotique. Inversement, si le lieu est perturbé, il apparaît resserré et déformé. Le réseau Hartmann est sensible à l’électricité. Il se détecte à l’antenne de Lécher : Ø 10 pour les nœuds Ø 12,2 pour les cloisons
Dans l’atmosphère le nœud Hartmann est une zone de faible résistance. Précisons que l’intensité des rayonnements du réseau Hartmann varie suivants les heures de la journée, en fonction des positions de la lune et du soleil. Ø Le maximum se situe entre minuit et 2 heures du matin. Ø Le minimum se situe entre 5 et 7 heures puis entre 17 et 19 heures. Les cloisons Hartmann, donc leurs croisements, ne montent pas nécessairement verticalement, mais parfois de manière franchement oblique.
Un nœud Hartmann à la verticale d’un court d’eau sera plus agressif. Georges Prat associe ce réseau au Nickel. Le chat, les abeilles et les fourmis recherchent les nœuds « H » chaque métal ayant une résonnance magnétique, comme le corps humain
Ernst Hartmann
Dans les années 1935, alors qu'il est encore étudiant en médecine à l’Université d’Heidelberg en Allemagne, celui qui allait devenir le Docteur Ernst Hartmann émet l’hypothèse qu’un réseau quadrillé électromagnétique de courants dits telluriques couvrirait l’ensemble de la surface terrestre. Il aurait observé que certains lits d'un hôpital présentent une plus grande propension aux troubles de la santé que d'autres (mais sur cela, des tests statistiques rigoureux font défaut; par ailleurs, la date fournie pour ces observations place celle-ci à une date où Hartmann était étudiant en médecine, ce qui interdit de croire qu'il ait pu mener des expériences contrôlées sur le sujet).
Après avoir inversé les lits, il en serait venu à émettre l'hypothèse que ce n’était pas le lit qui était en cause mais son emplacement. Il en vint donc à invoquer le rôle des ondes terrestres. En clair, si un patient en état critique se voit affecter le lit 2 alors il meurt alors qu’il aurait été sauvé sur les lits 1 et 3 – ceci en terme statistique (mais on ne sait sur quels échantillons statistiques validés une telle observation aurait pu être menée, et aucune expérience ne saurait être menée sur ce type d'issue).
Il postule alors l'existence des "murs d'ondes" verticaux d’une largeur de 21 cm orientés nord-sud et est-ouest, dits "ondes telluriques" (terme qui n'a pas le sens qu'il avait déjà en géophysique), et dont aucun instrument étalonné ne peut mettre l'existence en évidence. Leur intersection avec la surface du globe constituerait un maillage - traits bleus sur l'image.
En ayant découvert l'influence du réseau qui porte son nom et en définissant certaines lois naturelles pressenties par les anciens, mais jusqu'alors incontrôlables scientifiquement, le docteur Hartmann se référant à des expériences simples et vérifiables par tout un chacun, démontre que là où il y a croisement de 2 rayons se trouve un point géopathogène ayant une grande influence sur la santé et notamment sur les causes de maladie chronique de l'être humain. C'est l'emplacement où il est recommandé de ne pas stationner longuement, que ce soit la place de travail ou l'emplacement du lit, surtout en ce qui concerne ce dernier, car le corps y stationnant de longues heures à l'état de sommeil, et l'influence du sol étant amplifié par l'absence des rayons cosmiques, notre métabolisme perd à peu près les 3/4 de sa résistance et de son auto-défense. C’est pourquoi l'orientation la plus favorable du sommeil correspond à la direction, tête au Nord, pieds au Sud, la plus défavorable étant celle tête à l'Ouest et pieds à l'Est.
Il y aurait beaucoup à dire sur l'art de construire sainement en tenant compte de l'influence du site sur les habitants.
D'autre part, on sait depuis fort longtemps que lorsqu'il y a de l'eau souterraine sous un habitat, soit une veine soit une nappe inerte phréatique, l'être humain se sent toujours plus fatigué que sur un sol neutre. On y constate souvent un vieillissement prématuré et une perte de vitalité. Bien que ne produisant pas d'énergie chimique, l'eau a le pouvoir d'entrer en résonance et d'amplifier toutes sortes de fréquences dont celles des courants telluriques que les chinois nomment les veines du Dragon.
Ces anomalies géologiques mesurables à la surface du sol sont dues à un affaiblissement du rayonnement des neutrons thermiques provenant des grandes profondeurs de la croute terrestre. Cela est du domaine de la physique atomique.
Aujourd'hui, le réseau Hartmann est constamment sous surveillance. Il est utilisé notamment pour la recherche séismique et les prévisions météorologiques. (Ces maisons qui tuent de ROGER LAFFOREST éditions LAFFONT, les rayons telluriques et leur influence sur tout ce qui vit par l'institut de recherche en géobiologie de CHARONNE en SUISSE).
Il est fort instructif de reconnaître chez nos aînés la maîtrise intuitive de cette science au travers des différentes applications pratiques qu'ils nous ont léguées.
A toutes les époques, les hommes ont utilisé ces lignes de force à des fins initiatiques. Les monuments mégalithiques tels que les dolmens préhistoriques composés d'une grande pierre plate posée sur d'autres pierres verticales, dont le poids repoussait vers l'extérieur ces réseaux radio-actifs, étaient implantés en zone neutre et parfaitement orientés.
Implantation des Dolmens en zone neutre du réseau Hartmann
Dans nos ateliers, les colonnes qui parfois encadrent le pavé mosaïque ne délimitent-elles pas elles-aussi l'espace sacré, le champ fertile où se placent les tableaux de Loge sur lesquels sont tracés les symboles consacrés de notre Ordre ? D'autant que les proportions du carré long ainsi formé ne sont pas sans rappeler celles du quadrillage Hartmann. D'autre part, la houppe dentelée, cette corde à nœuds qui devrait ceinturer nos murs ne figure t'elle pas elle aussi l'énergie qui circule et anime nos travaux ? La loge n'est qu'une projection du saint des saints présent au centre du pavé mosaïque.
Nous pouvons comparer les colonnes de nos Temples aux Menhirs des temps préhistoriques, vous savez ces aiguilles de pierre dont un tiers de la hauteur est enterrée, et qui sont très exactement implantées à l'intersection des lignes de force du réseau Hartmann afin d'amplifier les vibrations cosmo-telluriques au point de rendre un périmètre plus fertile, (c'est du moins ce que prétendent les savants astro-physiciens ).
Les colonnes de nos temples ont la même fonction et fertilisent l'esprit des Maçons.
Dans des cavernes rigoureusement implantées sur ces noeuds d'énergie Hartmann, furent découverts des animaux momifiés, la radioactivité mesurée était alors de 30 à 50 % plus élevée que la moyenne. C'est ainsi qu'un grand nombre de hauts lieux reconnus pour tels depuis toujours ont été répertoriés, étudiés et auscultés. Ce n'est pas un hasard si à l'emplacement même des lieux de culte païens d'autrefois se sont élevés des édifices religieux, et si l'on y retrouve des corps intacts et momifiés, enterrés en certains points précis.
Si nous examinons une vue aérienne du site de Carnac dans le Sud de la Bretagne, nous constatons que l'orientation en est rigoureuse, et que les pierres levées qui forment des travées sur plusieurs centaines de mètres, se trouvent à égale distance l'une de l'autre. Avec un minimum d'imagination, les initiés peuvent comparer ce site à un Temple cosmique, plafonné par la voute céleste. Ces colonnes de pierre, érigées aux intersections des lignes de force du réseau Hartmann et dirigées vers le ciel, sont des antennes cosmo-telluriques qui par leur poids en modifie la configuration et délimitent des espaces neutres et sacrés. Vu sous cet angle, il ne fait aucun doute que la religion des civilisations mégalithiques était d'obédience cosmique.
A contrario, si nous examinons l'implantation et la forme des colonnes de nos cathédrales et édifices religieux, nous comprenons mieux l'esprit de leurs bâtisseurs. Ces édifices, conçus pour recevoir un grand nombre de fidèles, répartissent elles aussi les charges de construction sur des piliers rigoureusement positionnés à l'intersection des nœuds Hartmann de manière à créer des espaces neutres sacrés, et se jouer des énergies pour une approche progressive de la haute spiritualité. Cependant, elles sont toutes reliées entre elles par leur sommet, canalisant l'énergie magnétique en la faisant circuler d'un point à un autre de la construction, créant ainsi une sorte de cage de Faraday protégeant l'espace consacré. Le seul point de la voute qui soit ouvert sur le cosmos, se trouve au droit de l'autel où officie le prêtre, sous la flèche du clocher.
C'est pourquoi dans la cathédrale de Chartres, nous trouvons le cœur de l'officient à égale distance des 14 cours d'eau souterrains et du haut de la flèche de son clocher, soit à 37 mètres de l'un et de l'autre.
Il est dit dans un traité sur les connaissances anciennes en rapport avec la médecine d'ASKLEPIOS, que deux choses alignées déterminent à mi-distance d'elles une ligne d'influence. Suivant son orientation, apparaît une ligne de force. Les mesures effectuées au point précis du cœur de l'officient à Chartres, indiquent 11000 unités.
Les hommes préhistoriques, ainsi que certaines civilisations telles que les Celtes ou les Egyptiens primitifs, croyaient en un ordre cosmique, en un Dieu solaire et en une tradition primordiale. Ils communiaient directement avec la nature, et leurs Temples s'ouvraient tout entier sur le Cosmos. Dans nos églises, c'est le prêtre qui est l'intercesseur entre les hommes et l'énergie divine.
Hypothèse sur l’alternance du noir et du blanc
Le Blanc comme symbolisant l’énergie cosmique bombardant la Terre, et le noir son réceptacle et la source de l’énergie tellurique, l’ensemble créant la vie par vibration.
Le Blanc
Nous travaillons dans une Loge de Saint Jean, ce qui signifie que la Bible comme symbole habituellement présent sur l’Autel des Serments dans les Loges spiritualistes, fait référence à la Lumière.
" Au commencement était le verbe, et le verbe était auprès de Dieu, et le verbe était Dieu. Par lui tout a existé, et sans lui rien n'a existé de ce qui existe. En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes; et la lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont point arrêtée
Ce prologue de Saint Jean sur lequel tous les maçons spiritualistes s'accordent, contient dans son essence même toute la science et la sagesse des prêtres de l'Egypte ancienne, transmise au peuple Hébreu par ce grand initié aux mystères antiques qu'était Moïse.
Au commencement était le verbe disait Saint Jean. Mais qu'est donc ce verbe sinon un souffle, une vibration transmise dans une atmosphère, perçue et décryptée par un cerveau Pour les antiques égyptiens, au commencement était l'énergie divine, origine du mouvement et dispensatrice de la vie.
Considérant le souffle comme un transmetteur des forces supérieures, la doctrine égyptienne faisait du soleil l'agent principal de cette émission. Aujourd'hui les scientifiques parlent du Big Bang initial et de ses conséquences sur l'ordonnancement de notre galaxie et des origines de la vie. Tous parlent d'une seule et même chose, la transmutation de la matière inerte en outil de création. Dans le texte des Pyramides, la genèse est la conséquence d'un acte sexuel masculin et solitaire du démiurge Atoum. Masturbation et jet de salive ont créé le premier couple, Chou et Tefnout, qui par la suite furent les modèles de la génération humaine.
Auparavant, la science sacrée égyptienne précise que l'astre Roi, dispensateur de la lumière sans ombre, était issu de la compagnie de huit dieux primordiaux, l'Ogdoade, qui avaient créé un œuf d'où était né le soleil. Cette symbologie faisait du soleil l'inducteur central qui, à l'image du créateur et par sa course, réglait la marche de toutes choses.
Aucune initiation véritable n'a jamais réellement adoré l'astre Roi, mais la partie exotérique de presque toutes les religions l'a considéré comme une divinité à cause de ses pouvoirs créateurs et bénéfiques. Il est partout, le rayonnement et la force; de lui émane une vibration divine, manifestation du rythme créateur qui dispense et anime la vie. Cette vibration, appelée fluide SA dans la doctrine égyptienne, émanait d'une sphère placée à mi-chemin de l'abstrait et du concret, c'est-à-dire du soleil, seule manifestation tangible du pouvoir vivificateur de la divinité.
C'est parce que le pharaon Aménophis IV ( XVIIIe dynastie ) qui changea son nom en Akhénaton signifiant la splendeur d'Aton, professa une doctrine confondant le créateur du système solaire avec le mystère solaire proprement dit, que le clergé d'Héliopolis s'opposa à ce monarque.
Peu à peu, la religion scientiste remplacera le langage symbolique et la sagesse des prêtres d'autrefois, oubliant que la science sans conscience conduit à la dégénérescence des égrégores humains. Les savants de notre 20e siècle se sont appropriés des connaissances appartenant à la mémoire de l'humanité en les démythifiant pour les rendre plus accessibles à la compréhension profane, tout en les recodifiant en langage scientifique pour faire croire à leur modernité. Les Dieux de l'égypte et de l'Olympe sont aujourd'hui débaptisés par eux pour devenir " cosmo-tellurisme ", " radiesthésie " ou "physique micro-vibratoire ". Il n'en reste pas moins vrai que toutes ces sciences n'existeraient pas si nos prédécesseurs ne les avaient pas découvertes et protégées en les codifiant dans un langage symbolique et sacré.
Manifestation du divin pour les uns, ou phénomène scientifiquement inexpliqué pour les autres, l'énergie cosmique est à l'origine de la vie. Même si nous pouvons expliquer et reproduire artificiellement les principes naturels de la propagation des ondes magnétiques, il nous est impossible de déterminer l’essence même de cette énergie qui nous baigne et nous anime.
Avant que la science n'appréhende à nouveau l'existence des Ondes qui parcourent l'espace, avant que n'existent les détecteurs de champs et autres appareils ultra sensibles permettant de mesurer les forces présentes et impalpables que sont les énergies cosmo-telluriques et leurs implications sur toutes formes de vie, l'être humain a ressenti puis découvert par intuition, observation et par connaissance approfondie, les étroites relations existant entre la Terre et le Cosmos. Il a perçu la dualité permanente du rayonnement qu'il subissait et en a vite conclu que celui-ci comportait deux mouvements; l'aspir et l'expir. Pour les prêtres égyptiens, tout vient du soleil et tout retourne à lui. Il y a là un rapport évident avec l'acte respiratoire en liaison avec les battements cardiaques. Ceux-ci s'apparentent avec la pulsation du cœur du monde qui distribue à tous la force et la santé.
Dans son aspect occulte, lorsqu'elle est considérée dans ses rapports avec le souffle vital, la respiration n'est pas qu'un acte matériel. Elle est aussi l'image d'une opération spirituelle qui transfigure l'adepte en lui conférant des pouvoirs de divers ordres. Aucune autre fonction ne lui apparaissait plus près de l'esprit que cet acte. Il ne s'agissait pas seulement pour lui, d'emplir ses poumons d'un fluide matériel et de revivifier ainsi, le sang physique. L'air respirable était chargé du souffle divin venant du soleil. Son action physiologique était donc considérée par lui, comme ayant une origine supra-terrestre.
Mais tout d'abord, que sont les énergies cosmiques et telluriques?
L'énergie cosmique est ce rayonnement magnétique d'origine incertaine, voir extra galactique, que notre Terre absorbe journellement. Ces ondes électromagnétiques dont l'origine se situe vraisemblablement au-delà de la voir lactée, ont une modulation de fréquence Giga Hertz.
Se déplaçant à la vitesse de la lumière, 300 000 km/s pour une longueur d'onde extrêmement faible de l'ordre de 0,0002 Angstrôm soit 30 quintillons de vibrations à la seconde, cette énergie à un pouvoir de pénétration extraordinaire. L'énergie cosmique est donc une onde de haute fréquence qui vient percuter la terre et perturber son atmosphère. Elle n'est pas porteuse de lumière comme on pourrait le penser. Pour s'en convaincre, il convient d'observer avec attention les satellites artificiels que nous envoyons dans l'espace. Ceux-ci ne reçoivent pas la lumière de l'astre solaire mais bien de notre planète, dont l'atmosphère agit, tel le gaz contenu dans une ampoule électrique renfermant un conducteur résistant. Cependant, les hommes ont symbolisé cette énergie par ses effets sur leur environnement, c'est-à-dire la lumière qui en découle.
C'est au physicien américain Millikan, prix Nobel de 1923 que l'on doit les premiers travaux importants sur le rayonnement cosmique.
( Détecteurs de haute fréquence, oscillographe 308 S, réçepteurs d'ondes ultra courtes avec micro-ampèremètre, magnétomètres à résonnances de protons, ohm-mètres, compteur Geiger-Muller, réçepteurs de courants d'électrofiltrations, compteurs à scintillation).
Pour mémoire, un GIGA HERTZ représente un milliard de vibrations seconde.
L'atmosphère terrestre est composé d'Atomes qui, au contact du rayonnement cosmique s'ionisent en forment la ionisphère. L'Atome, excité par un rayonnement, peut passer brusquement d'un état d'énergie d un autre, et ce changement s'accompagne généralement d'un quantum de lumière ou photon.
Le noir
En ce qui concerne l'énergie Tellurique, les astronomes et les astrophysiciens affirment aujourd'hui que l'origine du magnétisme tellurique s'explique par une rotation différentielle entre le noyau en fusion et le manteau de la Terre, c'est-à-dire entre les parties internes en fusion et externes du noyau produisant un effet dynamo. Ce courant basse fréquence naturellement rayonnant tourné vers la surface de la Terre, créé un champ magnétique qui s'oppose à l'énergie cosmique en une vibration permanente sur tout corps résistant.
Comme les chercheurs modernes le prétendent aujourd'hui, nous pouvons admettre que les endroits de forte intensité vibratoire tels que ceux situés sur des nœuds d'énergie et dans des zones l'épaisseur de la croute terrestre conjuguée à une densification amoindrie de la couche atmosphérique donc plus exposés à l'antagonisme des forces magnétiques cosmo-telluriques, sont des hauts lieux de la spiritualité.
Symboliquement, puisque non vérifié, le fil à plomb placé au-dessus du tableau de Loge indique que cet endroit est un haut lieu de spiritualité cosmo-tellurique.
Le Pavé mosaïque composé de carrés blancs et noirs pourrait donc symboliser ces deux forces en présence qui par leur opposition créent la vibration à la source de toutes vies.
Incidence du pavé mosaïque sur son environnement
La théorie de H. Lorentz ( prix Nobel de physique 1902 ) permet de démontrer que tout vibre dans l'Univers, la matière dite " inerte" les couleurs et les formes, comme la matière vivante. Tout ce qui vibre émet des ondes longitudinales (linéaires) et / où tourbillonnaires.
Ainsi, si deux objets, ou dans le cas qui nous intéresse, deux couleurs, vibrent à la même fréquence, ou sur une fréquence harmonique, sonore ou non, ils tendent à entrer en résonnance, même à des distances parfois considérables. Autrement dit, les objets matériels de notre environnement, tous les êtres vivants, hommes animaux ou végétaux constitués d'atomes et de molécules ont le pouvoir de s'accorder pour entrer en vibration lorsqu'elles sont en présence, et de capter ou émettre des ondes comme une antenne de radio.
La couleur est une onde vibratoire capable de pénétrer notre peau. Chacune d’elles a son propre pouvoir. La lumière blanche est l’association des 7 couleurs de l’arc-en-ciel, Rouge, Orange, Jaune,Vert, Bleu, Violet, Rose. Elle est comme un miroir qui réfléchit l'univers, sa vibration nous renvoie à nous-mêmes. Elle symbolise aussi tout ce qui est transcendant, associé à l'au-delà.
Le noir est le symbole de la nuit précédant le jour et il est alors force d'appel des énergies du début du jour. Comme le blanc, il porte à la concentration : l'un évoque l'ascension de la vie de l'esprit ; l'autre, la décomposition-germination sur laquelle se fonde la vie. C’est le contraste de la "spiritualité" et de la "matérialité".
L’association des deux couleurs émet donc une vibration particulière, favorable à l’esprit régnant sur la Loge.
Les maçons sont appelés à se vêtir de noir et de blanc. Le noir en signe de deuil (enfant de la veuve et deuil du maître Hiram), blanc en signe d’innocence et de pureté.
J'ai dit
Robert MINGAM